Alors que les premières grandes vagues allergiques viennent de commencer avec le bouleau, les nanoparticules émises lors des pics de pollution exacerbent les allergies au pollen. Vous êtes insuffisant respiratoire ou atteint d’une maladie cardiovasculaire , jeune enfant ou à l’opposé personne âgée, alors évitez toute […]
Cadis Formations, Auteur à Cadis Formations - Page 17 sur 19
Les Européens sont les plus grands consommateurs d'alcool
L’Europe est le continent où la consommation d’alcool est la plus élevée par habitant, indiquent dans un rapport l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Commission européenne. Les Européens consomment en moyenne l’équivalent de 12,5 litres […]
Le dépistage du cancer colorectal est amélioré
Une campagne d’information rappelle que 14 millions de Français, entre 50 et 74 ans, peuvent bénéficier d’un dépistage gratuit du cancer colorectal. Un kit de prélèvement est délivré au cours d’une consultation par le médecin traitant. Un nouveau test prédictif permet ensuite de détecter les polypes « précancéreux ».
Le cancer colorectal est la quatrième cause de décès par cancer en France. L’utilisation du kit de prélèvement permet d’ores et déjà de découvrir plus rapidement un polype bénin ou précancéreux. Le dépistage est mené en 4 étapes :
1- Les patients effectuent à leur domicile des prélèvements de selles au moyen du kit fourni par leur médecin.
2- Les personnes testées positives à la suite des prélèvements passent une coloscopie qui a pour but de détecter d’éventuels polypes.
3- Les polypes sont retirés puis analysés.
4- Un nouveau test repère sur ces polypes la présence d’une protéine appelée « progastrine ». Celle-ci permet de prédire la survenue de tumeurs chez des personnes déjà opérées de polypes jusqu’alors considérés comme bénins.
Ces tests pratiqués plus régulièrement offriront un dépistage précoce.
Une campagne pour ne pas prendre ses médicaments "n'importe comment"
« Le médicament n’est pas un produit comme les autres. » C’est le message que souhaite faire passer le ministère de la Santé, grâce à une campagne nationale lancée le 2 mars.
A l’aide d’un spot publicitaire, d’annonces dans la presse et d’affichettes, les autorités alertent les Français sur les risques liés à la banalisation des médicaments. Elles indiquent également le rôle des professionnels de santé afin que les produits soient correctement employés. Une campagne de prévention importante lorsque l’on sait que les Français sont les plus gros consommateurs de médicaments en Europe, sur toutes les classes thérapeutiques (Etude Drees 2010).
Les quatre grands conseils sont :
N’utilisez pas les médicaments des autres car chaque traitement correspond à un cas particulier.
Indiquez à votre médecin et à votre pharmacien les médicaments que vous utilisez.
Respectez la prescription : dosage, heure de prise…
Restez attentifs aux effets secondaires éventuels, et signalez-les à votre médecin ou à votre pharmacien.
fièvre de bébé : ayez les bons reflexes
En matière de fièvre, les médecins ne cessent de réévaluer leurs pratiques et certains gestes ne sont plus du tout conseillés !
Ce qu’il ne faut PLUS faire
– Donner un bain « tiède » à une température de 2° inférieure à celle dcu corps de votre enfant
– Envelopper votre bébé de bandelettes humides
– Appliquer un gant de toillette rempli de glace sur son visage et sous ses aisselles
Tous ces remèdes sont désormais à ranger au rayon des idées peu efficaces. Et si vraiment vous tenez au bain tiède, il est important de vérifier que cela n’aggrave pas le « mal-être » de votre bébé.
Ce qu’il faut faire VITE
Avant même de se ruer vers l’armoire à pharmacie à la recherche d’un antipyrétique (médicament contre la fièvre), il est nécessaire de déshabiller votre bébé. Non, on ne fait plus « transpirer la fièvre »! La chaleur a besoin de s’évacuer du corps de votre nourrisson, donc il faut enlever tous les vêtements superflus et le laisse en body dans une pièce pas trop chauffée (entre 18 et 20°C). Et, surtout, vous devez faire boire votre bébé le plus souvent possible, et plus que d’habitude, des boissons qu’il accepte facilement.
Faire baisser la fièvre ou pas ?
Le traitement systématique de la fièvre n’est plus une règle absolue : tout dépend du degré de tolérance de votre petit malade. S’il continue de jouer comme si de rien n’était, inutile de vous affoler. Son organisme est sans doute en train de combattre un méchant virus. Attendez au moins 24 h pour voir si la fièvre persiste avant d’appeler le pédiatre. En revanche, si votre enfant est abattu, qu’il transpire beaucoup ou refuse de s’alimenter, un médicament antipyrétique diminuera sa sensation d’inconfort… en attendant une visite conseillée chez le médecin. Car la fièvre a beau être un symptôme normal et fréquent, elle n’en est pas moins un signe annonciateur à ne pas négliger. Attention à bien respecter les doses et le délai entre les prises (généralement toutes les 6 heures) indiqués par votre médecin.
Les bébés et le froid
Faut-il sortir les bébés par ce grand froid ?
Un bébé qui dépasse trois kilos peut en effet profiter du grand air. Il suffit tout simplement de bien le couvrir et de rajouter une couverture dans le landau ou la poussette.
Comment habiller votre bébé ?
Opter pour un body, un sous-pull, une bonne polaire et une combinaison imperméable. Inutile d’en rajouter, votre enfant risque d’être saucissonné.
Cependant, il est impératif de bien protéger ses extrémités (main par une paire de moufles, pieds par une paire de chaussette qui les protègent de l’humidité )
Attention au gerçure. Il est préférable de lui appliquer une crème protectrice avant et après la promenade.
N’hésitez pas à lui proposer une boisson de préférence chaude …
A partir de 2 ans, les précautions sont beaucoup moins importantes car l’enfant bouge beaucoup. En bougeant, il active la régulation thermique de son corps.
Cependant, il faut faire attention aux chocs thermiques( chaud et froid) car à cet âge, l’enfant déborde de chaleur aime se découvrir.
Des mesures pour les services d’aides à domicile : « des postes sont à pourvoir »
En septembre 2011, le ministre des solidarités et de la cohésion sociale a confié à Bérengère Poletti, député des Ardennes une mission sur l’aide à domicile. Le rapport propose trois mesures urgentes pour faire face à la pénurie d’aide à domicile :
- – Débloquer des fonds d’urgence pour les services à domicile
- – Réintégrer les familles dans les publics fragiles
- – Assurer la protection juridique concernant les nouveaux modes de tarification
La coqueluche : Une maladie grave et contagieuse
La coqueluche est une maladie infectieuse respiratoire grave. Chez le nourrisson, elle peut entrainer des difficultés respiratoires et des complications neurologiques et pulmonaires pouvant nécessiter une hospitalisation.
Cette maladie très contagieuse se transmet très facilement par simple contact en toussant ou en éternuant. 400 000 personnes sont touchées en Franc e et peuvent le transmettre aux plus petits.
Face à cette vulnérabilité, il est indispensable de protéger les nourrissons par le vaccin.
0+5+30 : les trois chiffres pour protéger son cœur
Le nouveau slogan de la Fédération française de cardiologie (FFC) est 0+5+30 : 0 cigarettes, 5 fruits et légumes et 30 minutes d’activité physique par jour.
Selon une enquête réalisée en 2010 sur les jeunes et leur cœur, le mode de vie des 15-20ans est loin du 0+5+30. En effet, 27 % des jeunes n’ont aucune activité physique d’au moins 30 minutes d’affilée(en dehors du sport en milieu scolaire) et seuls 15% des 15-20 ans reconnaissent le manque d’activité comme dommageable pour la santé. 33% des personnes de 20 ans fument et 24% ne mangent qu’un fruit ou légume par jour. Et pourtant les bonnes habitudes se prennent tés tôt surtout lorsque l’on sait que les maladies cardiovasculaires sont les premières cause de mortalité chez les femmes et qu’elles causent en France 400 morts par jour (tous sexes confondus)
Enquête réalisée par Kantarhealth en mars 2010 pour la FFC
ALERTE AUX ANTIBOTIQUES : PLAN NATIONAL 2011 – 2016
Ce plan national est lancé par Xavier Bertrand, ministre chargé de la santé, et Nora Berra, secrétaire d’Etat chargé de la santé.
Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS) les maladies infectieuse sont la seconde cause de mortalité dans le monde et la troisième dans les pays développés. Or la médecine ne peut s’en passer qu’il s’agisse de chirurgie, de réanimation ou de pris en charge des patients immunodéprimés.
Le but de ce plan est de protéger cette ressource indispensable mais fragile. L’enjeu de ce plan est de recourir aux antibiotiques de façon plus adaptée.